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Comment construire durable ; avec quelles techniques, quels matériaux et suivant quels process ? Vous découvrirez, à travers les différents chapitres, les techniques architecturales et les matériaux à privilégier quelle que soit la dimension du projet : maison individuelle ou bâtiment de grande taille, éco-quartiers, immobilier d'entreprise, etc. Ainsi, vous y apprendrez : Les critères et matériaux à privilégier pour construire ou rénover grâce à de nombreux tableaux, très clairs, indiquant les avantages et les inconvénients de chaque matériau ; Comment aménager lorsque l'environnement naturel ne présente pas d'atouts suffisants, ou lorsqu'il s'agit d'un projet de rénovation ; Comment bien choisir le site de construction en fonction du climat, de l'orientation, des vents dominants ou adapter la construction au site existant (en cas de rénovation) ; Comment définir une stratégie de chaud pour l'hiver et de froid pour l'été ; Les matériaux à utiliser en fonction de leurs caractéristiques techniques, leur niveau d'opacité, leur texture, etc. ; Les solutions à adopter pour l'isolation, l'étanchéité ; Les outils architecturaux spécifiques à l'habitat bioclimatique et comment les utiliser: mur Trombe, puits canadien, etc. ; Le livre consacre ensuite un chapitre détaillé au système de management environnemental (SME) spécifique à la construction durable en mode projet, démarche indispensable pour un projet d'une certaine ampleur. Il en détaille les étapes : réalisation d'un éco-bilan, définition des rôles et des responsabilités, définition des exigences fonctionnelles et techniques du projet, identification des contraintes, planification et suivi, etc. Ce travail s'adresse à tous ceux, maîtres d'oeuvres et maîtres d'ouvrages professionnels ou particuliers qui souhaitent connaître d'une manière concrète les outils (matériaux, techniques), les enjeux (économiques, énergétiques, etc.) et principes (démarche globale bioclimatique) d'une approche systémique de la construction complètement inscrite dans une démarche de développement durable. Aperçu du sommaire: - Les choix techniques & architecturaux: + La localisation: la morphologie et l'état des sols; le climat et l'orientation du terrain; l'environnement; les ressources locales; les déchets et les rejets; l'emprise du sol. + L'architecture et la conception bioclimatique du bâtiment: l'étude du climat; l'implantation dans le terrain; l'orientation et l'aménagement des espaces intérieurs; la forme du bâtiment; la forme de la toiture. + L'enveloppe du bâtiment: les parois; les outils architecturaux spécifiques (le mur capteur accumulateur, le mur Trombe, les espaces tampons, la double peau, les masques et les protections solaires, les capteurs à air, les capteurs solaires, le puits canadien, les toitures végétalisées). + La ventilation: la ventilation naturelle, la VMC simple flux auto-réglable, la VMC simple flux hygrorégable, la ventilation double flux avec récupérateur de chaleur, la VMR, la VMI. - Le management environnemental de la construction: + cadre, acteurs et démarche environnementale:la maîtrise d'ouvrage; la maîtrise d'oeuvre. + La gestion de projet de construction durable: les étapes de gestion (la programmation, la conception, l'exécution des travaux, la réception et le visa, la vie du bâtiment).

Construction écologique --- Ecologie --- Environnement

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Informed decision-making is the basis for the design of Net Zero Energy Buildings (NZEBs). This thesis investigates the use of building performance simulation tools as a method of informing the design decision of NZEBs. The aim of this study was to develop a design decision making tool, ZEBO, for zero energy residential buildings in hot climates and to evaluate the effect of a simulation-based decision aid, on informed decision-making using sensitivity analysis. An assessment of the role of the BPS tools used in informing the decision-making was ascertained through cases studies, usability testing and several self-reported metrics. The thesis provides results that shed light on the effectiveness of sensitivity analysis as an approach for informing the design decisions of NZEBs.

Climat --- Architecture --- Changement climatique --- Energie --- Construction écologique

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Construction passive --- Construction écologique --- Economie d'énergie

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Ce travail, constitué d'une recherche théorique et d'un projet d'architecture, s'articule autour de la problématique suivante : Dans quelle mesure les spécificités locales interviennent elles dans la conception d'une architecture soutenable ? Pour cela, la recherche théorique explore les leviers de l'architecture soutenable et tente de comprendre les relations de cette approche avec les paramètres locaux. Cette étude se subdivise en quatre axes de recherche : l'enjeu urbain, l'enjeu programmatique, l'enjeu énergétique et l'enjeu constructif. Bien que cette étude soit subdivisée en quatre parties distinctes pour des besoins méthodologiques, les dispositifs énoncés sont en fait interconnectés et participent ensemble à l'élaboration d'une architecture soutenable. Ainsi, cette recherche traduit le caractère global de la soutenabilité et constate que chaque phase de conception peut s'inscrire par différentes stratégies dans une démarche soutenable. Dans la mesure où l'ensemble de ces enjeux se structure à partir des paramètres locaux, la prise en compte du lieu dans le processus de conception apparait comme essentiel. Le projet d'architecture s'attache, par un travail d'analyse, à identifier une spécificité locale de la ville de Cholet. Elle se caractérise par une série de paramètres locaux de différentes natures. En effet, cette singularité s'explique par la morphologie urbaine, la topographie, le milieu naturel, une série d'équipements et la forme de l'espace public. De ce point de vue, les enjeux qui découlent de cette spécificité et des critères de soutenabilité sont multiples. Ils sont d'ordre urbain par la restructuration de l'espace public et du réseau de mobilité, et d'ordre environnementaux par le développement de la continuité végétale. Ainsi, la prise en compte de cette spécificité et la résolution de ces enjeux nécessite une approche globale intervenant à plusieurs échelles. C'est par le croisement des quatre enjeux soulevés en première partie que le projet développe une proposition d'aménagement. Elle se caractérise par des dispositifs relevés dans l'enjeu urbain (développement de la trame verte et des réseaux de mobilités douces), dans l'enjeu programmatique (mutualisation de parkings), dans l'enjeu énergétique (compacité du volume chauffé, captation et protection des rayonnements solaires) ainsi que dans l'enjeu constructif (choix de matériaux à faible énergie grise). Ainsi, par la recherche théorique et le projet d'architecture, ce travail émet l'hypothèse que la spécificité locale intervient dans le processus de conception comme un centre de gravité autour duquel se développe l'ensemble d'une stratégie soutenable. Les dispositifs mis en place sont alors déterminés et adaptés aux paramètres locaux.

Urbanisme --- Espace public --- Bioclimatisme --- Construction écologique --- Mobilité --- Sol --- Eau

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Comment appliquer les critères du standard passif, conçus pour répondre aux besoins d’habitations individuelles, aux bâtiments non résidentiels ? Est-il opportun de définir un ensemble de critères valant pour tout type de bâtiments non résidentiels ? Ou faudrait-il définir des critères de certification qui tiennent compte des particularités de chaque programme ? Partie 1 : qu’est-ce que le passif ? Cette partie vise à cerner ce qu’est le standard énergétique passif. L’objectif est de fournir les bases nécessaires pour bien comprendre les études et analyses qui seront abordées dans les autres parties. Il s’agit, dans un premier temps, de définir les grands principes du standard, les procédés de conception de bâtiments passifs, ce que signifient les niveaux E et valeur K et ce qu’ils représentent pour un bâtiment basse énergie, passif et Nezb (Nearly Zero Energy Building). Dans un second temps, je me concentrerai sur les bâtiments tertiaires passifs. Quels types de bâtiments sont concernés ? Qu’est-ce qui les différencient des bâtiments résidentiels ? Et quels critères doivent-ils respecter pour être passifs ? Partie 2 : les consommations du secteur tertiaire en Région de Bruxelles-Capitale. Le mémoire se concentre sur l’étude des bâtiments tertiaires passifs en Région de Bruxelles-Capitale, ou RBC. Mais quel est le visage du secteur tertiaire en RBC ? De quels bâtiments parle-t-on ? De quand datent-ils ? Et que consomment-ils ? Autant de questions auxquelles il faut répondre, au préalable, avant de s’intéresser à la manière de rendre ces bâtiments passifs. Dans cette partie, j’aborde l’activité du secteur et son évolution depuis 1990. Pour chaque programme du secteur tertiaire (que l’on retrouve sur le sol bruxellois), j’analyse les consommations en vue de cerner leurs besoins (en chaud, en froid, en électricité) et mettre en évidence les postes les plus consommateurs. Ce sont sur ces postes qu’il faut intervenir pour diminuer la consommation totale du bâtiment. Partie 3 : comment appliquer les critères du standard passif aux bâtiments tertiaires ? Pourquoi une norme de consommation d’énergétique de 15 kWh/m2.an ? Et pas… 14 ou 16 ? Comment diminuer la consommation d’énergie primaire ? Isoler et rendre étanche à l’air pour conserver la chaleur au cœur du bâtiment, c’est une chose, mais quel est l’impact de ces mesures sur les besoins de froid ? Pour répondre à ces questions, je me suis basé sur les résultats et conclusions de l’étude « Mise au point de critères passifs pour les bâtiments tertiaires en Région de Bruxelles-Capitale » une étude réalisée par la plateforme « maison passive » PMP/PHP en collaboration avec l’Université Catholique de Louvain UCL, pour le compte de l’intercommunale bruxelloise de gestion de l’environnement (IBGE). Partie 4 : est-ce que ça marche ? Après les concepts et études théoriques, place aux cas pratiques. A partir d’exemples construits et de relevés de consommation, je vais confronter la théorie à la pratique. Les deux exemples que j’ai analysés proviennent de l’étranger. Ces bâtiments sont cependant construits de la même manière que chez nous et les résultats observés peuvent nous inspirer pour les bâtiments tertiaires passifs bruxellois.

Economie d'énergie --- Bâtiment de bureaux --- Construction écologique --- Bruxelles